À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, nous avons choisi de placer le généathème de septembre sous le signe du patrimoine. Voici quelques pistes que vous pouvez explorer dans vos billets de blog.
Le patrimoine bâti de vos ancêtres
Racontez l’histoire d’une maison, une ferme, un château ou un immeuble où vos ancêtres ont vécu.
Retracez le lien entre votre généalogie et un monument local (une église, un cimetière, un lavoir, une usine, une gare…).
Une visite lors des journées du patrimoine ?
Vous pouvez aussi nous partager une visite réalisée lors d’une journée du patrimoine (ou pendant vos vacances !).
N’oubliez pas de partager vos articles avec le #Geneatheme, et à vos claviers !
L’heure est venue de vous dévoiler le généathème de l’été, avec lequel vous pourrez rédiger un ou plusieurs articles durant les mois de juillet et août. Cette saison, nous vous invitons à nous emmener au bord de l’eau — un thème suffisamment vaste pour puiser dans vos souvenirs familiaux ou dans les archives.
Des vacances au bord de l’eau
L’été évoque naturellement les vacances au bord de l’eau. Peut-être avez-vous conservé des photographies de famille, ou des récits des premiers congés payés de 1936 qui ont permis à toute une génération de découvrir la mer pour la première fois ?
Fouuillez dans vos archives personnelles : cartes postales, journaux intimes… Chaque document peut révéler une facette de l’histoire familiale et sociale de votre époque.
La vie quotidienne au fil de l’eau
Que ce soit au bord de la mer, d’un ruisseau, d’un lac ou d’une rivière, vos aïeux ont sans doute vécu à proximité de ces points d’eau, qui pouvait déterminer l’implantation des villages et des villes.
Cette proximité n’était pas anodine : l’eau servait à boire, cuisiner, laver le linge, faire tourner les moulins… Elle était source de vie, mais aussi de dangers avec les inondations ou noyades qui marquaient la mémoire collective.
Explorez les registres paroissiaux et les actes notariés. Ne négligez pas non plus les toponymes qui révèlent l’importance de l’eau dans la géographie de nos lignées.
Les métiers de l’eau : une source d’histoires
Avez-vous un marin dans votre famille ? Un marinier qui naviguait sur les fleuves et canaux ? Une lavandière qui battait le linge au lavoir communal ?
Ces professions recèlent des récits passionnants : les registres maritimes pour suivre les voyages de vos marins, les archives portuaires qui révèlent les cargaisons transportées par vos mariniers, les témoignages oraux sur la dure vie des lavandières… N’oubliez pas les métiers connexes : pêcheurs, bateliers, fontainiers, puisatiers, meuniers, tanneurs (qui utilisaient l’eau pour traiter les peaux), ou encore les sauniers des marais salants. Chaque profession liée à l’eau possède ses spécificités, ses archives particulières et ses traditions familiales.
Pistes de recherche et d’écriture
Pour nourrir vos articles, voici quelques pistes à explorer :
Archives familiales : photographies de vacances, cartes postales, témoignages oraux.
Archives publiques : registres paroissiaux mentionnant les noyades, délibérations municipales sur l’aménagement des points d’eau, archives portuaires.
Patrimoine local : lavoirs, fontaines, ports, phares, écluses, moulins à eau…
Traditions et folklore : fêtes de la mer, bénédictions des bateaux, légendes locales liées aux cours d’eau.
À vos plumes !
Nous avons hâte de découvrir vos récits au fil de l’été. Alors, prêts à embarquer pour ce voyage généalogique au bord de l’eau ? N’oubliez pas de partager votre article avec le #Généathème.
Masi ce n’est pas fini, une surprise vous attend cet été..
Dans nos arbres généalogiques, les célibataires sont souvent relégués au second plan. Parce qu’ils n’ont pas eu d’enfants, ils semblent parfois s’effacer de la mémoire familiale. Et pourtant, ils méritent tout autant qu’on s’intéresse à eux !
Une vie sans mariage : choix ou destin ?
Le célibat peut être un choix… ou non : vocation religieuse, décès du ou de la fiancé(e), obligations familiales, difficultés économiques… Les raisons sont multiples, et sderrière chaque célibataire se cache une vie à découvrir, un parcours à reconstituer.
Pour ce généathème, nous vous proposons de mettre en lumière l’un de ces collatéraux oubliés. Plongez dans les archives et racontez son histoire :
Quel a été son rôle dans la famille ?
Avec qui vivait-il ou elle ?
A-t-il laissé un héritage, matériel ou symbolique, à ses neveux, nièces ou à la communauté ?
Offrons à ces célibataires la place qu’ils méritent dans nos récits familiaux. À vous de jouer !
Le 8 mai 2025, nous commémorerons les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquée par la signature de l’armistice de 1945. Nous vous proposons de saisir cette occasion pour rédiger un article sur votre blog. Cet anniversaire est une invitation à transmettre, à travers nos blogs, les traces que la guerre a laissées dans nos arbres.
Quelques pistes pour orienter votre article
Des résistants dans votre arbre ou votre village ?
Vos recherches vous ont peut-être fait découvrir un ancêtre (ou un collatéral, un voisin) engagé dans un réseau de résistance ? Racontez vos recherches, leur parcours.
Un maquis, une bataille, une libération près de chez vous ?
Le titre parle de lui-même, combinez histoire et géographie. C’est l’occasion de vous plonger dans les sources locales telles que les journaux, les archives communales…
Un prisionnier de guerre ou un déporté parmi vos ascendants ?
Peut-être avez-vous entrepris des recherches auprès du Comité International de la Croix Rouge, du Service Historique de la défense. De nombreuses sources peuvent vous aider à retracer leur parcours.
Des archives personnelles à présenter ?
Avez-vous en votre possession des objets, lettres, photos ou journaux ayant appartenu à des membres de votre famille pendant cette période ?
Pour ce mois d’avril, nous vous proposons de jouer avec le fil parce qu’en avril… ne te découvre pas d’un fil !
Des ancêtres ont-ils/elles exercé des métiers du fil (des tissus, du cuir) ?
Des couturiers ou couturières mais aussi de tisserands, fileurs ou fileuse, laceteur, drapiers, tanneurs, cordonnier….
Une activité familiale sans être le métier ?
Peut-être avez-vous des souvenirs d’un.e ancêtre cousant, filant, tricotant, reprisant… Une image de costumes anciens / traditionnels ? Partagez vos photos d’ancêtres en costume.
Et si vous n’avez rien qui correspond dans votre généalogie…
Peut-être des informations sur le trousseau des jeunes mariées ou à partir des inventaires après décès.
Et comme d’habitude, n’oubliez pas de partager vos articles avec le #Geneatheme, et à vos claviers !
Après la pause estivale, quoi de plus logique que de vous invier à plonger dans les archives scolaires pour marquer la rentrée ? Ces archives moins connues regorgent de trésors pour enrichir votre histoire familiale. Vous trouverez plusieurs pistes ci-dessous ; n’hésitez pas à cliquer sur les liens qui vous emmèneront sur des articles de blogs de généalogistes.
Vous pouvez tout d’abord imaginer des recherches du côté des archives familiales : diplômes, cahiers, photos de classe mais aussi des objets plus insolites comme une équerre ou des travaux de broderie.
De multiples ressources sont ensuite disponibles aux archives, dont certaines sont en ligne. Les archives de Paris ont par exemple numérisé de nombreux documents sur les écoles maternelles et primaires. C’est également le cas des archives départementales des Hauts-de-Seine et de l’Aisne.
Aux archives départementales, il vous faudra aller fouiller en sous-séries :
Série T dédiée à l’enseignement général, elle peut contenir des registres d’élèves, des rapports…
Série O concernant les affaires communales, elle peut vous renseigner sur la construction des écoles ou les budgets alloués.
Série W pour les archives contemporaines.
E-Depot pour les archives communales déposées, qui peuvent contenir les registres scolaires.
N’oubliez pas non plus d’étendre vos recherches à la presse ancienne qui peut apporter des informations sur les diplômes obtenus (comme le certificat d’études) ou l’histoire des écoles. Les bulletins d’associations et annuaires peuvent également apporter des informations.
Enfin si vous n’avez pas d’idées, saviez-vous que vous pouviez retrouver des archives en ligne sur le site des archives nationales ? Vous y retrouverez notamment l’enquête sur la situation des écoles primaires en 1884.
Avec l’arrivée des beaux jours, place à la fête ! Pour ce généathème de juin, nous vous proposons d’évoquer les fêtes qu’ont vécu nos ancêtres, et ainsi mettre un peu de gaieté dans vos blogs.
Fêtes de village : chaque village avait ses propres coutumes et célébrations. Faites nous découvrir une fête traditionnelle des régions de vos ancêtres : rassemblements, fêtes saisonnières, saint patron, le choix est vaste !
Fêtes religieuses : elles étaient des moments importants dans la vie de nos ancêtres, avec là encore des traditions variant selon les régions.
Fêtes de famille : racontez-nous un souvenir que vous gardez d’une fête de famille ou alors partagez-nous la recette d’un plat traditionnel servi lors d’une fête.
Pour ce mois de mai nous vous proposons d’écrire un article qui porte sur une profession. Métier original ou oublié ? Profession transmise d’une génération à l’autre ?
Faites nous découvrir ces métiers ! N’oubliez pas de partager votre article sur les réseaux sociaux avec le #Geneatheme.
Le terme océrisation dérive de l’abréviation OCR : Optical Character Recognition, c’est-à-dire en français : reconnaissance optique des caractères. Vous l’avez sans doute utilisé sans connaître le terme ; il s’agit du traitement d’une image scannée sur lequel un logiciel de reconnaissance de caractères va déchiffrer les formes pour les traduire en lettres.
Le 3 décembre 2022 se tiendra Gene@2022 organisé par la Fédération Française de Généalogie, en partenariat avec les Archives Départementales des Yvelines. Le thème cette année est : Généalogie : Océrisation et paléographie.
A cette occasion nous vous proposons donc d’écrire pour le Généathème de décembre sur une ou plusieurs découvertes que vous avez faites grâce à l’océrisation. Et si vous n’avez jamais fait ce type de recherches, tentez l’expérience !
Et pour ceux qui veulent pimenter le challenge, un petit bonus sera de publier l’article le 3 décembre, jour du Gene@2022. Mais vous aurez bien entendu tout le mois pour le faire.
Le 21 septembre 1792 les députés de la Convention décident à l’unanimité d’abolir la monarchie constitutionnelle en France. Exit le Roi, place à la République, qui ne serait pas officiellement proclamée.
Mais le 22 septembre, la décision est prise de dater les actes officiels de l’an I de la République. Le calendrier républicain n’entrera en vigueur que le 6 octobre 1793 – ou le 15 vendémiaire an II – mais officiellement et rétroactivement, le 22 septembre 1792 est en fait le 1er jour de la République, c’est à dire le 1er vendémiaire an I.
Profitons de ce mois de septembre pour mettre en avant la vie de nos ancêtres sous la 1ère République, nos démêlés avec le calendrier républicain, et tout ce qui tourne autour de la période révolutionnaire.
N’oubliez pas de partager votre article avec le #geneatheme ou en commentaire ci-dessous. A vos claviers !