Challenge d’indexation, l’interview de la directrice adjointe des AD 31 – #TDFGenealogie

Temps de lecture : 5 minutes

Lors du dernier challenge d’indexation organisé par Geneatech lors du GeneaWeekend en janvier 2022, les AD ont terminé sur le podium des services les plus indexés en 2ème position avec 765 indexations.

Le service le plus indexé lors cette opération n’étant pas cette année sur le parcours des Tours de France, nous avons sollicité les AD 31 pour une interview. Nous espérons ainsi mieux connaître leur démarche avec les indexations collaboratives. Nous publions cette interview alors que l’étape de jour part de Saint-Gaudens après un premier passage dans le département dimanche dernier lors de la 15ème étape.

Madame Marie-Astrid Zang, Directrice adjointe des AD 31

Madame Marie-Astrid Zang, Geneatech vous remercie d’avoir accepté de participer à cette interview dans le cadre de notre opération autour des Tours de France.

Vous êtes la directrice adjointe des AD 31 et cheffe du service des publics et de la conservation.

Nous aimerions savoir comment votre service a mis en place les indexations collaboratives.

Quelques mois après la mise en place de notre nouveau site internet en juillet 2019, nous avons décidé d’offrir aux internautes la possibilité d’enrichir celui-ci en indexant certains documents mis en ligne. Nous avons choisi d’ouvrir à l’indexation trois fonds très différents et de différentes époques pour toucher des publics divers : les listes nominatives de recensement jusqu’en 1911 ; les registres des insinuations (1581-1790) et une collection de contrats de mariage passés devant des notaires toulousains (1501-1794).

Nous avons volontairement exclu de l’indexation collaborative les registres matricules (1867-1921), ceux-ci ayant été indexés par un prestataire dans le cadre du centenaire de la première guerre mondiale. Les listes cantonales de tirage au sort et les listes départementales du contingent qui seront mises en ligne dans les mois à venir ont été indexées par la même société.

Nous n’avons pas eu besoin de demander au prestataire qui a fait notre site internet de développer une interface particulière pour l’indexation. Celle-ci faisait en effet partie des modules proposés. Nous avons seulement paramétré les éléments que nous souhaitions faire indexer dans chaque corpus.

Cette interface, outre l’indexation des noms de personne, permet également de créer des tables des matières par la pose de signets facilitant ainsi l’accès aux registres en ligne. Les internautes peuvent poser des signets dans les trois fonds ouverts à l’indexation et dans les registres paroissiaux et d’état civil.

Quels retours avez-vous des contributeurs et des publics?

Nous avons assez peu de retour du public sur l’indexation collaborative. Nous avons reçu quelques remarques qui nous ont incité à mettre à jour les modes d’emploi proposés.

Comment communiquez-vous sur ce point ?

Nous avons fait une actualité sur notre site internet et un post sur notre page facebook lors de la mise en place de l’indexation collaborative. Nous ferons de même lorsque nous ouvrirons d’autres fonds à l’indexation. Nous signalons également l’existence de l’indexation collaborative aux chercheurs que nous invitons à consulter les fonds ouverts à l’indexation dans le cadre de leur recherche.

Par ailleurs, lors du confinement en 2020, nous avons invité les internautes à indexer les listes nominatives de recensement.

Quels résultats avez-vous et relancez-vous des “campagnes régulières” ?

Les résultats sont assez irréguliers selon les corpus. Les listes nominatives de recensement sont les documents qui sont les plus indexés.

Qu’est ce qui, selon vous, pourrait augmenter le nombre d’indexations collaboratives ?

Pour le moment, il est possible d’effectuer une recherche dans les noms indexés dans un registre donné (onglet recherche dans le visualiseur). Nous n’avons pas encore mis en place le moteur de recherche permettant de faire une recherche sur l’ensemble des registres d’un corpus. Sa mise en place rendra l’indexation collaborative plus visible et devrait avoir pour conséquence d’augmenter le nombre d’indexeurs.

Des challenges comme ceux organisés par vos soins sont aussi un moyen de faire connaître l’indexation collaborative et d’inciter des internautes à devenir indexeur à l’occasion du challenge et à continuer à participer par la suite.

Plus nous aurons d’indexeurs, plus le nombre d’indexations sera important.

Quelles sont les limites de l’indexation collaborative ?

La première limite est liée aux difficultés à déchiffrer les noms propres écrits dans des écritures parfois déformées. Alors que le sens du texte peut aider à déchiffrer un mot mal écrit, pour les noms propres, seule l’identification précise de toutes les lettres le composant permet le déchiffrage. Cela peut rebuter certaines personnes qui souhaiteraient participer mais n’osent pas devenir indexeur de peur de se tromper.

Par ailleurs, comme vous le savez, l’indexation est un travail long. Même si chaque indexeur est important, qu’il indexe un nom dans une page, toute la page ou le registre entier, il faut reconnaître que pour que les bases d’indexation s’accroissent rapidement et permettent aux internautes de mener leurs recherches avec plus de chance de succès, il est nécessaire que des internautes soient motivés pour indexer de manière systématique des documents qui les concernent, partiellement ou pas du tout.

Faites-vous des contrôles sur la qualité de l’indexation ?

Même s’il est nécessaire de créer un compte utilisateur pour pouvoir indexer, nous avons préféré laisser l’internaute libre de choisir la façon dont il veut indexer : un nom, une page, un registre complet… De même la validation est automatique, il n’y a pas de vérification par les Archives des noms indexés. En revanche, nous procédons à des corrections si des internautes nous signalent des erreurs de lecture ou si nous constatons des noms erronés.

Qu’est ce qui pourrait améliorer cette qualité de l’indexation ?

On constate que dans une commune, on retrouve souvent les mêmes noms. Avoir des indexeurs qui connaissent bien la commune qu’ils indexent est un gage d’avoir une indexation de grande qualité.

Il faut toutefois noter que jusqu’à présent, très peu d’erreurs nous ont été signalées par les internautes dans les registres déjà indexés.

Travaillez-vous avec les associations de généalogistes ou autres ?

Même si nous sommes en contact avec plusieurs associations, nous n’avons pas travaillé avec elles sur le thème de l’indexation collaborative.

Avez-vous une archive autour du vélo que vous souhaiteriez évoquer pour nos lecteurs ? Quelle en-est l’origine ?

Si vous faites une recherche avec le mot « vélo » ou « bicyclette » dans la recherche libre de notre site internet, vous obtenez un très grand nombre de réponses.

Je voudrais toutefois évoquer ici un ensemble de cartes postales et photographies qui nous ont été prêtées pour numérisation par un collectionneur. Parmi celles-ci, on trouve des photographies provenant de l’association de tourisme vélocipédique la Tortue, créée en 1890. Ses membres sillonnent la région toulousaine et organisent des sorties sur plusieurs jours dans les Pyrénées. Ces sorties sont l’occasion de prendre des photographies.

En voici deux exemples :

En janvier, il y avait eu 765 indexations sur votre site en 1 week-end, pour le mois de juillet en entier, quel est votre objectif ?

Notre objectif est d’avoir au moins 5 000 indexations. Si nous passons la barre des 10 000 noms, nous considérerons que cela est un très grand succès qui nous permettra en outre d’avancer la date de la mise en place du moteur de recherche.

GENEATECH : Merci pour votre accueil et vos réponses et rendez-vous début août pour un retour sur ce challenge.

Avis aux généalogistes ayant des recherches à faire sur le site des AD 31, il reste quelques jours pour indexer dans le cadre de notre défi et peut-être vous permettre d’avoir une nouvelle fonctionnalité sur ce site.

Histoire d’une naissance : Généalogie Alsace, le petit blog qui monte qui monte…

Temps de lecture : 7 minutes

L’invitation de GeneaTech au partage d’expérience est une excellente occasion de faire le point sur les presque 9 mois d’existence de Généalogie Alsace, le blog de la section Île-de-France du CGA (Cercle Généalogique d’Alsace). Histoire d’une naissance !

 

Au départ, un constat : la pandémie nous éloigne inexorablement les uns des autres.

Les membres de la section sont empêchés de se retrouver, comme à leur habitude, un après-midi par mois, dans une brasserie parisienne. Il faut dire que les grèves de transport et la crise des « gilets jaunes » ont déjà freiné considérablement le rythme des réunions (au cours desquelles nous écoutions un exposé ou conférence et échangions autour d’une boisson nos expériences généalogiques)… Le besoin de partager, de rester en contact, nous pousse à trouver une solution numérique à l’isolement forcé. On pense sérieusement à un site internet qui nous permettrait aussi d’avoir une visibilité sur la toile, de faire connaître nos particularités et nos publications, d’augmenter le nombre des participants. On en parle, on en reparle, on tergiverse, on hésite… Qui s’en charge ? Qui a le temps, l’énergie, les compétences ? Comment lancer un site internet sans bousculer les habitudes de travail des plus anciens du groupe ? Comment publier des articles sans faire de l’ombre à la lettre trisannuelle de la section ?

L’élément déclencheur : Le Salon Virtuel de Généalogie de juin 2020.

L’information arrive sur nos boîtes mails en plein confinement : GeneAgenda lance le 1er Salon Virtuel de Généalogie. Nous décidons de nous lancer dans l’aventure, presque au pied levé. C’est l’occasion de découvrir que, finalement, en outils numériques, nous ne sommes pas complètement des quiches ! Et on se prend au jeu ! Pour se lancer doucement dans l’aventure numérique, nous ouvrons d’abord, en juin 2020, le compte Instagram @genealogiealsace, après avoir constaté que ce créneau est inoccupé et que ce média permet de toucher de jeunes adeptes de généalogie. Succès immédiat et enthousiasmant ! Le compte Instagram atteint 100 abonnés mi-septembre. Le projet d’un site internet mûrit pendant l’automne… Deux membres de la section (Christine et Laure, les « petites nouvelles » du groupe), réfléchissent aux contours du support. Il nous faudra un blog, évidemment, pour assouvir notre soif d’écrire et partager les travaux rédactionnels des membres !

Créer un site internet : notre expérience, étape par étape.

Étape 1 : créer une adresse mail pour la section CGA-IDF !

Étape 2 : lister les besoins et les contraintes. C’est une étape au moins aussi importante, sinon plus, que la mise en place de l’outil technique. Question primordiale : le site doit-il être ouvert à tous ou réservé au groupe ? Notre site sera public (grande prudence donc sur la confidentialité des informations qui y seront exposées). Il devra comporter des renseignements permettant de faire connaître la section Île-de-France du CGA et un blog pour y expliquer les particularités de la généalogie en Alsace. Il devra être attractif (esthétique, bien illustré, intéressant) pour conquérir un large public (adhérents ou non du CGA). Il devra aussi être très simple d’utilisation et très lisible, compte tenu de l’âge moyen des membres utilisateurs. À ce stade, nous répertorions les onglets qui seront nécessaires et les fonctionnalités souhaitées (barre de recherche, agenda, catégories, abonnement au blog, page de contact…)

Étape 3 : choisir le support technique. Notre choix s’est porté sur un site WordPress gratuit car notre budget est quasi-nul, que cette plateforme offre un large choix de modèles de base personnalisables et que l’utilisation du tableau de bord est assez intuitive.

Étape 4 : choisir un nom et un logo. Pour le nom (et l’url associé), nous avons fait simple et efficace : « Généalogie Alsace », tout est dit, what else ? Pour le logo, il y a eu débat (mais Laure a été un peu directive). L’image de profil apparaît partout dans un blog et chaque fois qu’on commente sur un autre blog ; il est donc indispensable qu’elle soit facilement reconnaissable. Elle doit évoquer au premier coup d’œil le site qu’elle illustre (d’où notre choix d’une Alsacienne en costume traditionnel), être graphique (d’où le noir et blanc) et représenter autant que possible l’ensemble des membres du groupe (bon, d’accord, c’est une femme… mais ce qui est important est qu’elle ne porte pas la cocarde tricolore et peut donc mettre d’accord tous les Alsaciens, germanophiles ou francophiles).

Étape 5 : prévoir le fonctionnement du blog. Qui s’occupe de quoi : rédaction des textes et/ou collecte des textes auprès des rédacteurs, recherche d’illustrations, corrections, mise en forme sur le tableau de bord en mode « brouillon », publication, gestion des commentaires. Quel est le rythme de publication souhaité ? Nous avions prévu de « faire tourner » le blog en binôme complémentaire (élaboration des textes à partir d’anciennes publications des membres ou de recherches diverses pour l’une, mise en forme et illustration pour l’autre) et, dans un premier temps, de publier 2 fois par semaine pour attirer tout de suite les lecteurs, avant de ralentir le rythme.

Étape 6 : rédiger les textes des différentes pages du site, choisir des illustrations (libres de droits et bien sourcées), rédiger au moins 2 ou 3 articles pour le blog (à publier à l’ouverture) et prévoir les publications suivantes.

Étape 7 : mettre en ligne. Oh, le gros coup d’adrénaline ! Joie et inquiétude mêlées. Ça y est, c’est fait, « Généalogie Alsace » est en ligne ! Nous sommes le 17 octobre 2020.

Étape 8 : Diffuser l’adresse du site. Aux adhérents bien sûr, mais aussi à tous les groupes ou individus qui, de près ou de loin, s’intéressent à l’Alsace et/ou à la généalogie. Bon, on ne vous cache pas qu’à cette étape, il faut surmonter patiemment une incommensurable résistance passive… Des siècles de recherches généalogiques sur support papier, cinquante ans de fonctionnement de la section Île-de-France du CGA sans média numérique (si ce n’est le site internet du CGA, essentiellement informatif)… mais on y croit et on s’obstine ! Avant que les moteurs de recherche fassent « remonter » notre blog dans les listes, il faudra compter plusieurs mois, alors on se concentre sur les « 3 P » : patience, pédagogie et persévérance.

ILLUSTRATION

La page d’accueil de Généalogie Alsace : la carte de Cassini de la région de Strasbourg (Carte de Cassini, XVIIIème siècle – Géoportail © IGN 2013) et le logo de l’Alsacienne (détail du tableau « Le souvenir, l’Alsacienne » du peintre alsacien Jean Benner, transposé en nuances de gris).

Motiver les contributeurs : la levure dans le kouglof !

Motiver les troupes n’est pas la moindre des besognes, mais c’est un ingrédient indispensable, si on ne veut pas que la pâte retombe au fond du moule… Alors, doucement mais sans faiblir, on tente de convaincre, de transmettre l’enthousiasme, de montrer que le groupe est une force. Il faut faire vivre le blog en encourageant l’abonnement et en incitant les lecteurs à déposer des commentaires pour enrichir la discussion (pour vaincre les réticences, rappeler qu’on peut utiliser un pseudo et que l’e-mail n’est visible que par les administrateurs). Il faut aussi tendre vers un blog vraiment participatif en diversifiant le nombre et le style des rédacteurs. Les « anciens » ont un savoir et une expérience que souvent ils minimisent : il faut faire appel à leurs souvenirs, récolter les témoignages, donner confiance et faire confiance. La généalogie est transmission, et ce n’est pas vous qui nous contredirez !

Des efforts récompensés : Généalogie Alsace passe la barre des 100 abonnés au blog en 5 mois…

Les premiers mois d’existence du blog demandent une bonne dose d’énergie et de temps. Le blog lancé, il faut s’organiser pour le faire vivre. La créativité doit s’exprimer autour d’une bonne ligne directrice, avec le support d’un calendrier éditorial pour gérer les publications sans stress et alterner harmonieusement les catégories (histoire, traditions, chroniques, repères généalogiques…). Un tableau Excel liste donc les articles à publier et publiés : titre (ou sujet prévisionnel ou toute idée qui nous passe par la tête), date de publication (prévue et effective), source (par exemple ancien article déjà publié dans une lettre du CGA-IDF), nom du rédacteur, plus 3 colonnes « techniques » à cocher (rédigé/corrigé sous Word, accord de l’auteur, prêt à publier sous WordPress). Quelques tâtonnements et adaptations plus tard, le rythme ne faiblit pas : toujours 2 publications par semaine ! Le partage régulier des articles du blog sur le groupe Facebook « Généalogie et culture alsaciennes » contribue amplement à gonfler le nombre de vues (la rubrique « dialecte alsacien » est particulièrement prisée). Un petit concours sur Instagram @genealogiealsace, avec la complicité des éditions Archives & Culture, permet au blog de passer à la mi-mars le cap des 100 abonnés. Depuis fin mars, l’ajout de mots-clés à chaque article facilite la recherche et augmente le référencement.

Généalogie Alsace entre dans la communauté GeneaTech à la mi-avril 2021.

À l’occasion du Généathème d’avril 2021 consacré aux naissances multiples, nous décidons de partager avec d’autres blogueurs une énigme étonnante : la naissance de sœurs siamoises à Rouffach (Haut-Rhin) en 1678, dans « Qui, quoi, quand, où ? Sœurs siamoises ». Nous nous prenons au jeu de la lecture de tous les articles proposés : quelle formidable émulation ! Nous découvrons la communauté GeneaTech, bouillonnante d’idées et généreuse en trucs et astuces pour néophytes de la généalogie numérique. Soyons honnêtes : la belle opportunité de faire connaître notre blog a été très incitative !

Notre prochain défi : un été généalogique très dense.

Avec l’arrivée des vacances, les rencontres mensuelles de la section Île-de-France du CGA (qui avaient repris via ZOOM pour maintenir le lien) s’interrompent pour 2 mois. Le rythme de publication va se calmer pour faire place à un contenu plus rare mais plus copieux. Nous avons prévu de publier 4 articles seulement cet été (un par quinzaine en juillet et août), mais ce seront 4 longs articles de référence pour apporter des réponses méthodologiques à des problématiques récurrentes (les fiches matricule des Alsaciens-Mosellans, les options de nationalité, les seigneuries de l’Ancien régime, les cimetières en Alsace). Ils viendront compléter l’article phare du blog, « Généalogie en Alsace : le B.A.BA ». Pour l’instant, nous en sommes… presque aux deux tiers de la rédaction (toujours à deux mais avec l’indispensable appui de notre bibliothécaire et de notre responsable-historienne). Espérons que ces articles rendront notre blog absolument incontournable pour tous les généalogistes alsaciens ! Nous n’avons pas perdu espoir de motiver davantage les adhérents au CGA-IDF à contribuer à leur blog… alors, nous avons eu une idée folle…

Notre projet fou : la participation au Challenge AZ !

Comme si le blog ne nous accaparait pas assez, comme si on avait besoin de se rajouter un peu de travail… l’envie nous démangeait de nous lancer dans le Challenge AZ en mode collaboratif. L’idée est lancée en mai et beaucoup s’en effraient : à quoi ça sert ? Qui va nous lire ? Suis-je capable ? On élabore le plan de bataille pour être fin prêts début novembre 2021. Il s’agit de ne pas perdre de temps et de s’organiser efficacement. Après lecture de toute la bonne littérature AZ, on décide d’une stratégie rigoureuse (trop ?) : choix d’un thème comme trame du challenge, élaboration d’un tableau de 26 mots de A à Z, calendrier des préparatifs… Ça y est, l’affaire est lancée ! On attend plus que nos amis inscrivent leurs noms au tableau avant… mi-juillet… Grand merci au Centre Généalogique de Touraine pour son retour d’expérience et ses bons conseils. À bientôt donc pour vous parler « vocabulaire des archives alsaciennes » (on avait plein d’autres idées mais on les garde pour les années à venir) ! Préparez-vous : les Alsaciens n’ont de souci à se faire ni pour le W ni pour le Z !