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Je prends la suite. Critère retenu : 1840

Vous voici en Bretagne. Joseph LE BRAS nait le 15 mars 1840 à La Villeneuve en St Barthélémy, Baud, Morbihan. Il est le frère ainé de mon ancêtre, Guillaume, lui-même né dans le même village le 29 avril 1646. Guillaume sera cultivateur toute sa vie. Il épouse Jeanne Louise GUYOMARD le 6 février 1885 à St Barthélémy, devenue alors commune à part entière et ce depuis 1867. Il aura 3 enfants dont mon grand-père, Jean Julien, qui sera toute sa vie également cultivateur en tant que métayer.

Mes ancres : Bretagne, Jean Julien, cultivateur, métayer.

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Citation de Invité le 22 janvier 2023, 11 h 35 min

Je prends la suite :o)

Ancre retenue : XIXe siècle (j'ai pas réussi à trouver avec 1840)
 
Aristide, Adolphe BARDE, mon SOSA 38, est né le 26 mars 1853, à Brest. Son père Auguste Joseph est ouvrier serrurier des constructions navales au port de Brest et Annette, sa mère, repasseusse. Le 28 avril 1877, il épouse, à Lorient, Adolphine, Marie, Josèphe CORROLAIRE. Il a alors 24 ans et exerce de nombreux métiers au Port : ouvrier chauffeur des équipages de la flotte, chaudronnier...
 
En 1878, nait Adolphine, Augustine BARDE, que l'on surnommera plus tard "Mérotte" (pour "petite mère") puis, en 1880, des jumeaux Adolphe, Alexandre et Joseph, Aristide qui ne vivront que quelques mois et, en 1882, Ernest, Eugène que l'on surnommera finalement "Albert"...
 
L'appel du large semble trop fort et Aristide s'engage finalement dans le corps expéditionnaire en 1884. Il prend le train pour Toulon et embarque sur le Shamrock, à destination du Tonkin, en tant que "distributeur comptable de la marine" ( il est responsable du stock de charbon). Tout au long de son formidable voyage, il écrit de magnifiques lettres à sa femme et à ses enfants. Rassurantes, drôles, bourrées de fautes d'orthographe, elles nous régalent à chaque relecture... Il encourage souvent sa "chère Fifine" à être bien sage avec son petit frère et sa maman. Il décède malheureusement d'une "maladie endémique contractée en Cochinchine", le 8 janvier 1885 à Saïgon, laissant sa femme veuve avec 2 jeunes enfants. Adolphine peut heureusement compter sur l'aide et le soutien de ses parents et finit pas trouver une place de couturière au Louvre. Elle épouse, en 1888, Marius Michel Abran, un sergent infirmier, avec lequel elle n'aura pas d'enfants et meurt, à Marseille, en 1919.
 
Aristide est le grand-père est ma "mémé Lily", mon arrière-grand-mère, que j'ai eu la chance de connaître. <3
 
Ancres :  Aristide / Brest / 1853 / comptable
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Mon ancre : 1853

1853, c'est l'année de naissance de mon arrière-grand-mère, Marie Elvire Primot. Elle voit le jour le 9 juin à Berry-au-Bac, un village de l'Aisne qui se trouve aux confins de la Marne où se trouve toute cette partie de ma famille.

Curieusement, je n'ai pas encore tellement creusé sa vie mais je sais qu'elle naît dans un foyer modeste puisque son père est domestique et sa mère couturière, ce qui s'inscrit parfaitement dans le parcours de ma branche maternelle. En 1871, elle a dix-huit ans et exerce le même métier que son père lorsqu'elle épouse Auguste Saucet… lui-même domestique !

A part les fameux trois actes, ce que je sais d'elle consiste principalement en anecdotes issues de l'histoire familiale et notamment celle qui concerne sa fin de vie. Son fils Eugène –mon grand-père- s'était entiché d'une bien jolie jeune femme qui était comme lui ouvrière à l'usine de pelleterie de Fismes.

Mais il se trouve que la belle était aussi fille-mère ce qui, aux yeux de Marie-Elvire, la disqualifiait irrémédiablement pour épouser son fils. Le mariage fut donc bloqué et plus personne ne savait trop sur quel pied danser devant la farouche opposition de la belle-mère potentielle.

La situation se dénoua avec la mort de Marie Elvire qui rendit l'âme le 29 mai 1913, à quelques jours d'atteindre ses soixante ans. La précision des dates compte : après ce qui devait probablement être le délai minimum de décence, mes grands-parents se marièrent le 5 juillet… mais surtout Ernestine accoucha de son deuxième enfant le 12 octobre !

Pauvre Marie Elvire, dont on retient surtout que sa mort permit à ma grand-mère de ne pas se retrouver pour la seconde fois avec un enfant sans avoir la bague au doigt ! Mais elle avait certainement de bonnes raisons de s'opposer si farouchement à Ernestine, car j'ai découvert que ses propres filles lui en avaient déjà fait voir de toutes les couleurs en lui ramenant plusieurs bébés sortis de nulle part…

Les ancres que je vous propose :
Prénom : Ernestine - Lieu : Marne - Période : 1913 - Profession : domestique

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Ancre retenue : Brest

Jean Baptiste ROUSSEAU (mon SOSA 38) est né en 1795 à Villedieu-la-Blouère (Maine-et-Loire). Il est militaire au 2ème Régiment de Ligne à Brest en 1820 et rencontrera une veuve, bretonne pure souche Marie Josèphe MORVAN, qui a déjà 8 enfants. Ils marient en mai 1822. Ils auront ensemble 5 enfants, dont l'aînée Catherine, née en 1820, sera légitimée par le mariage de ses parents. Marie-Josèphe MORVAN décèdera à Brest en 1929, 5 mois après la naissance de, si on compte bien, son 13ème enfant. Jean Baptiste sera ensuite, après sa période militaire, débitant de vin, écrivain en 1844, puis journalier au Magasin Général. Il décèdera le 14/12/1847 aux Hôpitaux Maritimes de Brest.

Ironie du sort, Catherine (SOSA 19), sa fille aînée reviendra, comme domestique, à Villedieu-la-Blouère, aux origines de son père où elle se mariera en 1844. 

 

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Je prends la suite 🙂

Ancre retenue : Domestique

Sylvie Delphine Eulalie DURAND est née le 5 mai 1848 à Ponteils-et-Brésis, dans le Gard. Le 20 décembre 1871, elle se marie avec Gustave BARRAL, fils de mes sosa 110 & 111, à La Grand-Combe. Il est mineur, âgé de 28 ans et elle a 23 ans et est domestique.

Le couple accueille au moins cinq enfants : Gustave Adrien en 1873, Marie Eulalie en 1874, Paul en 1877, Louise Lucie en 1884 et Auguste à une date encore inconnue car je n’ai trouvé que son décès en 1884. 

Je n’ai pas encore trouvé ses date et lieu de décès. 

Sylvie n’est pas une de mes ancêtres mais une lointaine alliée mais j’avais envie de la remettre un peu en lumière… 

Mes ancres : 

Prénom  : Eulalie

Lieu : Gard

Période : 1884

Profession : mineur

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Ancre retenue " Mineur"

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Dans un recensement de Loulans en Haute-Saône de 1654, on peut trouver

"Angelin BAUCQUIE, de Savoie, travaille aux mines à l'usage du fourneau depuis 4 ans"

Cette information transmise par une généanaute que je remercie, m'a permis de découvrir le repeuplement de la Haute-Saône après la guerre de 30 ans par de nombreux savoyards dont ce Angelin certainement originaire de la région d'Annecy.

Je lui ai trouvé au moins 6 enfants dont le premier au moins doit être né en Haute-Savoie, et 23 petits-enfants.

On retrouve cette famille Beauquis le plus souvent sous le patronyme de Bauquy et 2 autres couples Beauquis sous le nom de Bauquier implantés définivement dans la même région.

Mes ancres : 

Prénom  : Angelin

Lieu : Annecy

Période : 1654 ou XVIIe

Profession : mineur

 

 

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Ancre retenue : mineur

Jean-Benoît DARD, né le 5 octobre 1854 à Bourg-Argental dans la Loire est le fils de Jean-Claude DARD et Marguerite BLACHON.

En 1866 il est recensé avec son employeur alors qu’il est berger.

Il épouse à Lorette (42) le 2 mars 1883, Marie DERVIEUX née en 1854 à Saint-Paul-en-Jarez toujours dans la Loire. A cette époque il est chef cantonnier.

Ils ont eu 10 enfants dont des jumeaux, entre 1883 et 1899, seuls 5 ont semble-t-il atteint l’âge adulte dont Rosalie DARD mon arrière-arrière-grand-mère. C’est à la naissance de Francine en 1886 qu’il est indiqué qu’il est mineur.

Il décédera le 9 mai 1927 à La Grand-Croix.

Ancres :

Prénom : Rosalie

Lieu : la Loire (département)

Période : fin XIXème

Profession : berger

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Ancre retenue : berger

Anne Marie BEAUGENDRE naît au village d'Epargé à Acigné, le 27 avril 1827 de l'union d'Anne BUTEL Jean BEAUGENDRE.

Lors du recensement de 1836, elle a seulement 8 ans, mais elle est déjà bergère. Elle est alors orpheline de père et vit chez son oncle maternel.

Elle se marie à l'âge de 28 ans dans sa commune natale d'Acigné (Ille-et-Vilaine) avec Jean NOEL (parfois nommé LOUAIL ou LOUEL), avec qui elle va cultiver la terre et faire quatre enfants, quatre petites filles : Jeanne, Julie, Perrine et Marie, nées entre 1856 et 1869 à Acigné. Les trois premières seront comme leurs parents, cultivatrices en Ille-et-Vilaine, tandis que la dernière, Marie Rose LOUEL (1869-1921) devient tailleuse et meurt à Noisy-le-Sec en 1921, veuve d'un forgeron bretillien, Jean Baptiste Marie SIMON.

La date et le lieu du décès d'Anne Marie BEAUGENDRE demeure encore pour moi un mystère . Elle est décédée entre 1911 et 1921 entre 83 et 93 ans.

Ancres :

Prénom : Anne

Lieu : Ille-et-Vilaine

Période : 1836

Profession : tailleuse

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