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Cadavre Exquis 2023 - Le jeu - Ouvert à tous
Je prends la suite.
Ancre retenue : 1881
Adèle DAMIEN naît le 6 mars 1848 au château de Couët, en la commune de Méntou-Râtel (18). Elle naît au château ... mais plutôt du côté des dépendances ! A 22 ans elle épouse Henri GILLET, maréchal-ferrant, de 7 ans son aîné. Ses beaux-parents sont tous deux décédés.
Je ne lui ai trouvé que deux filles, Marie Adèle Armantine née en 1871 et Octavie Henriette née en 1876.
Elle décède le 23 juillet 1881 à Neuvy-Deux-Clochers à l'âge de 33 ans. Son époux ne se remariera pas.
Mes ancres :
Prénom : Henri
Lieu : Château de ...
Date : 1876
Profession : maréchal-ferrant
Bonjour,
Je prend la suite de Delphine
Ancre retenue : 1881
Giovanni (Jean) ZAGO est mon Sosa 46. Il est né dans la paroisse de Borso, en Italie (Vénétie), et y a été baptisé le 29 août 1807 (même si par erreur, son acte de sépulture indique qu'il est né en 1809). Il est le dernier de sa fratrie, qui aurait pu compter au total 8 enfants, mais dont seuls trois ont atteint l'âge adulte. Il est prénommé Giovanni (Zuanne en vénitien), en hommage à son grand-père maternel. C'est le 3e enfant du couple auquel ce prénom a été donné, mais les deux autres, dont l'un des jumeaux nés en 1804, sont décédés durant leur première année.
Giovanni se marie le 24 juin 1835 avec une fille de son "pays", Giacoma GUGLIELMIN. Ils auront 6 enfants, mais là encore seuls 3 d'entre-eux deviendront adultes et formeront une famille.
Giovanni et Giacoma ne quitteront pas la paroisse de Borso.
Giovanni ZAGO s'y éteint le 21 janvier 1881, consumé par l'âge et par la pellagre, une maladie due à la malnutrition, malheureusement très courante à cette époque chez les paysans de Vénétie.
Mes ancres :
Prénom : Jean (Giovanni)
Lieu : Italie
Période : 1807
Profession : paysan
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Ancre retenue : Giovanni (Jean)
Giovanni Lelli est né le 31 décembre 1839 à Rome.
Il s’est marié 3 fois. Il est relié avec ma généalogie via son 3ème mariage, en 1905 à Paris, avec Victoire Mathilde Schneider, sœur de mon arrière-grand-père.
Il était graveur sur pierres fines / graveur en camée.
Mes tantes, les deux sœurs ainées de mon père ont d’ailleurs un camée qu’une « personne de la famille a fabriqué ». Je le soupçonne très fortement.
Il est mentionné dans le journal Le Gaulois du 22 août 1883, comme donateur pour une tombola du lot « 10° Un camée par Giovanni Lelli ».
La petite anecdote familiale est que la demi-sœur de Victoire s’est mariée avec le fils de Giovanni…
Mes ancres :
Prénom : Mathilde
Lieu : Paris
Période : 1905
Profession : graveur
Je prends la suite de Jenny.
Ancre retenue : Mathilde
Mathilde Colette Rouchon a eu une vie bien courte. Elle quitte ce monde à 22 ans en 1942 à Provins. Elle est la fille d'Antoine et de Valentine Valton (cousine germaine de ma grand-mère maternelle) et est née le 19 juillet 1919 à Paris 14e.
Mathilde a perdu son père 6 mois avant son décès, mais elle ne verra pas sa mère, qui exerce comme cartomancienne sous le nom de madame Caussiat, se faire arrêter quelques semaines plus tard et se faire condamner aux travaux forcés à perpétuité en 1943 pour avoir pratiquer des avortements.
Mes ancres : Valentine, Provins, Paris, cartomancienne, condamner, travaux forcés
Mon ancre : Valentine
Les racines paternelles de mon petit-fils partent dans le Calvados. C'est à Neuilly-la Forêt que Valentine Delphine Pelcot vient au monde le 11 mars 1891. Elle est la seconde fille du couple que forment Auguste Pelcot et Angelina Levavasseur, mais la première légitime. Son frère ainé Louis Ernest est né en 1885 alors que le couple s'est marié en novembre 1891.
Je ne sais presque rien au delà des grands parents de Valentine, c'est encore un terrain de jeux vierge pour de futurs recherches.
Valentine épouse Alfred Lietot quand elle a 20 ans, il est ouvrier agricole, elle est indiquée comme ménagère. Je ne sais pas quand elle est morte, si si elle a eu d'autres enfants en plus d'Auguste, né en 1913, génération 5 pour mon petit-fils. Une branche à découvrir que j'espère explorer prochainement.
Mes ancres :
Prénom : Auguste
Année : 1913
Lieu : Calvados
Profession : Ouvrier agricole
Critère retenu : 1913
Abraham Jacob BRINKMAN naît le 27 mars 1913 dans le petit village de Ooltgensplaat (Pays-Bas.)
Il est le fils aîné de Abraham et Lena RAAP. La famille est pauvre, la nourriture est souvent rare sur la table.
Repéré à l'école communale comme étant un élève particulièrement brillant, Abraham Jacob bénéficie d'une bourse et obtient son diplôme de pasteur en 1937. Il financera les études de son frère cadet, qui deviendra pasteur également.
Abraham Jacob épouse Maartje Maria PAASSE vers 1938 et le jeune couple quitte l'île pour la province d'Utrecht. Bram et Ma auront 5 enfants entre 1939 et 1954. Ma mère est la petite dernière.
De mon grand-père, qui avait déjà 70 ans lorsque je suis née, je me souviens de l'odeur de sa pipe, de sa grande taille et de ses grandes mains, ainsi que des promenades que nous faisions ensemble, jusqu'à la voie ferrée, pour faire coucou aux conducteurs de train.
Depuis que j'ai commencé ma généalogie, un portrait moins flou se dessine, d'un homme marqué par une enfance pauvre puis par la guerre ; d'un transfuge de classe qui n'a pas toujours eu des relations apaisées avec sa famille restée sur l'île.
A.J. BRINKMAN décède le 25 septembre 2002 à Utrecht.
Mes critères : Prénoms : Abraham Jacob - Lieu : Pays-Bas - Période : 1913, 1937 - Profession : Pasteur
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Je prends la suite de Marthe .
Ancre retenue : Pays-Bas
Egidius Bemelmans et Joanna Palmen se sont probablement mariés à Nuth (province du Limbourg) aux Pays-Bas vers 1684. Ils ont eu au moins 7 enfants dont Egidius (Gilles) né en 1698 et Leonardus (Léonard) né en 1703.
Les 2 frères partent en France et sont bergers en Ile-de-France. Gilles se marie le premier, à Champigny (94) en 1729 avec Marie Issard. 9 ans plus tard, le 11 août 1738, Léonard épouse Anne, la sœur de Marie, à Champigny également. Gilles et Léonard aurons respectivement 9 et 6 enfants.
Leonardus est à l’origine avec son frère Egidius de pratiquement tous les porteurs du patronyme Bemelmans en Ile-de-France.A ce jour, j'ai identifié plus de 430 Bemelmans qui descendent des 2 frères.
Mes ancres : Léonard, Gilles, berger, 1738, Ile-de-France
Je prends la suite
Critère retenu : 1738
C‘est le 13 février 1738 qu’Antoine Damour, jeune homme d’une vingtaine d’années, épouse à Chasselay (Rhône), sa commune natale, Virginie Durand, âgée de quatre ans de moins que lui.
Le couple s’installe au hameau des Chères, sur une ferme qui appartient à Mr. Bouilloud. Antoine est donc fermier.
C’est là que naîtront leurs neuf enfants, cinq fils et quatre filles, entre 1739 et 1763. Le cinquième enfant et deuxième fille, Jeanne Marie, est mon aïeule.
A l’âge de 73 ans, Antoine décède en pleine Révolution, le 7 janvier 1792. Il n’a pas déménagé, mais en 1758, le hameau des Chères a été détaché de Chasselay, et regroupé avec d’autres hameaux, pour former une paroisse nouvelle, qui a pris le nom du plus important d’entre eux, Les Chères.
Mon aïeul décède donc dans cette nouvelle commune.
Mes ancres :
Antoine, fermier, 1792, Rhône
Je prends la suite.
Critère retenu : Rhône
Marie-Jeanne BOCCA, dite Mariette, voit le jour en 1840 à Lyon, dans le Rhône.
Son père, Barnabé Pascal, imprimeur sur étoffes, - né à Toulon de parents arrivés de Chieri, dans le Piémont – a épousé en 1838, à Vernaison (Rhône), Etiennette ABEL, jeune ouvrière à la fabrique d’impression sur étoffes.
Ils auront trois enfants, Marie-Jeanne puis deux fils morts en bas-âge, et Etiennette décédera malheureusement quelques semaines après la naissance du dernier, âgée de 24 ans, à Puteaux (Hauts-de-Seine), où la famille s’était installée vers 1844.
Dès lors, Barnabé Pascal, devenu veuf, ne se remariera pas et suivra sa fille unique dans ses déplacements en région parisienne, jusqu’à son décès en 1893.
A l’âge de vingt ans, Marie-Jeanne met au monde une fille, de père inconnu, qui décède le jour-même.
En 1869, elle épouse à Chantilly (Oise) Pierre CHAUSSON, originaire comme elle du Rhône.
Ils auront 7 enfants, de 1867 à 1881 (dont deux légitimés par le mariage), à Puteaux, Chantilly puis Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où la famille s’installe vers 1881.
Marie-Jeanne se retrouve veuve en 1895, peu de temps après avoir perdu son père, âgé de 81 ans.
Elle décèdera à Saint-Denis en 1921, également âgée de 81 ans.
Sa plus jeune fille Gabrielle CHAUSSON est mon arrière-arrière-grand-mère.
Mes ancres : Etiennette, imprimeur sur étoffes, Hauts-de-Seine, 1840
Je prends la suite :o)